affiche du film où l'on voit une forêt

Rencontres avec la réalisatrice Agnès Fouilleux

Agnès Fouilleux nous fait le plaisir de venir débattre avec les spectateurs, à l’issue de la projection de son dernier documentaire L’USAGE DU MONDE, VOYAGE ENTRE NATURE ET CULTURE :

  • Mercredi 25 septembre à 20h au cinéma La Capitelle à Monistrol Sur Loire (43)
  • Jeudi 26 septembre à 20h 30 au cinéma Delta à Saint-Flour (15)
  • Vendredi 27 septembre à 20h : cinéma Le Rio à Clermont-Ferrand (63)
  • samedi 26 octobre à 18h au ciné Dyke du Puy en Velay (43)
  • samedi 26 octobre à 20h45 au cinéma Scoop du Chambon Sur Lignon (43)

L’USAGE DU MONDE, VOYAGE ENTRE NATURE ET CULTURE

film documentaire d’Agnès Fouilleux, 1h46
synopsis : À travers l’histoire et la préhistoire, depuis les peintures rupestres de la grotte Chauvet 
jusqu’aux débris laissés dans l’espace par les satellites d’Elon Musk, le film nous invite 
à une réflexion sur les sociétés humaines et les traces qu’elles laissent de leur passage 
sur terre.

Et si ce lien à la terre, à l’eau et aux autres espèces, était de même nature que celui qui 
nous relie aux autres ? Si seul un nouveau récit pouvait faire basculer l’histoire ?
Réinventer notre rapport au vivant, à l’agriculture et à la démocratie pourrait être les 
premiers mots jetés là en préambule pour écrire cette nouvelle histoire.

La presse en parle

« Cette Fresque décortique notre rapport au vivant dans une balade historique, ethnologique, philosophique aussi riche que touchante. » Télérama

« Un documentaire exemplaire tant dans son engagement pédagogique que sa mise en forme en lien parfait avec le fond, pour rappeler – entre philosophie, archéologie anthropologie, littérature – l’urgence de passer d’un rapport de domination à celui de partenariat avec la nature.(…) Un plaidoyer lumineux où tout fait lien dans sa structure et qui nous invite à reconsidérer ce qui nous unit à la nature. » Les fiches du cinéma


Agnès Fouilleux

Après une formation universitaire en biologie et biochimie, une carrière de sportive de haut-niveau en parapente, et quelques années de journalisme dans la presse écrite, elle découvre la réalisation documentaire et se forme à ce média.

Intéressée par les enjeux de politiques internationales, et les migrations de populations, elle voyage beaucoup et notamment en Asie au début des années 2000, où elle tourne plusieurs films. Tibet Clandestin, puis Himalaya, trois générations en exil, tous deux diffusés sur des chaînes de télévision et dans des salles de cinéma.

En 2009, c’est le tournant vers un cinéma d’auteur plus marqué et singulier. Cette année là sort en salles, le film « Un aller simple pour Maoré » dans lequel la réalisatrice interroge la problématique de l’immigration et des questions géopolitiques aux Comores .

En 2011, sort le film « Small is beautiful »  qui interroge la question d’échelle dans le développement agricole, et sa conséquence en terme environnemental et social. Le film laisse une large place à un entretien avec Edgar Pisani, ancien ministre de l’agriculture en poste au moment du remembrement, et à des archives et rencontres sur le terrain avec différents protagonistes.
Sans beaucoup de publicité, il voyage de salles en salles dans toute la France au bouche à oreille. Il est projeté au Parlement Européen. Piraté sur le web, il fait près d’une million et demi de vues…

En 2017, sort en salles le film « Être plutôt qu’avoir » , qui interroge les questions éducatives et pédagogiques et leur lien avec l’apprentissage de la citoyenneté.
Le film voyage sur les écrans français à la demande des enseignants et est projeté dans les écoles de formation des Professeurs des écoles (ESPÉ).

Les sujets d’études actuels de la réalisatrice sont la question de la démocratie, du rapport de l’homme à la nature, des capacités d’évolution et de transformation des sociétés humaines et de la place des femmes, depuis la préhistoire jusqu’à nos jours.